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09 Jan

Expression...

Publié par Déthéines  - Catégories :  #Live, #Mode..., #Quelques notions...

En vue des récents événements, je ne peux exprimer que ma tristesse. Je ne peux imaginer le deuils, la peur et surtout la frustration de toutes les familles et victimes à ce jour déplorer. 

J'aimerais également dire que toutes formes d'outils médiatiques permettent de s'informer face aux actualités mais dérives malgré nous, nos opinions sur les faits et malgré tous les coupables. Je n'accepte en rien leur violence, leur haine, leur acte si éffroyable. Cependant, j'aimerais ne pas mettre cette question de religion et de revendication dans le même panier. En effet, il ne faut pas mettre tous les moutons dans le même panier. 

Enfin, j'aimerais prôner cette liberté d'expression, qui ne trouve aucune limites face aux différents réseaux sociaux, mais cette liberté passe avant tout par notre corps... et oui, cette fameuse arme de destruction massive... 


Ainsi trois séries d'articles vous serions proposé dans cette thématique contre cette expressivité si violente mais également face aux éléments du passé - et de chaque présent... J'espère que ca vous plaira !
Les tatouages, bien à la monde à ce siècle, je pense qu'il excelle dans l'excentrisme, le narcissisme (...) mais ce geste "pour la vie" témoigne en effet d'une expression, d'une émotion, d'une valeurs propre à l'être humain. 

Cette pratique ancestrale, pour des vertus médicales, de décorations corporelles, d'appartenance d'une religion... Le premier tatouage se situait en Egypte avec une momie de 2200 av. J.-C., dont le corps était entièrement tatoué de motifs décoratifs, mais ayant un but plutôt sacré et religieux. Les tatouages guidaient et guident toujours le spiritualisme de chacun, dans l'au delà mais également dans la vie de tous les jours, si je peux dire. Par exemple, dans la vallée du Caire, le tatouage revêt essentiellement un but médical. La croix sur le front et l’oiseau tatoué entre les bords externes de l’oeil sont un remède pour les maux de tête et la faiblesse d’esprit.

Mais, partout où le tatouage s’est manifesté il a contribué à marginaliser ses adeptes d’une certaine façon. Il servait à distinguer les classes sociales, à marquer le passage d’un état à un autre, à identifier les esclaves ou les criminels…

C’est dans les peuples dits primitifs, et plus précisément en Polynésie (Îles Marquises et Nouvelle-Zélande) que le tatouage s’est le plus développé. Il marquait généralement l’appartenance à un rang social élevé. En effet, la pratique du tatouage dans ces cultures avait pour but de renforcer la fécondité et les liens avec le surnaturel et le sacré. En Polynésie, le baptême de l’enfant, c’est le tatouage. Pour être inscrit dans la communauté, le polynésien doit passer par des rites imposés par la tribu. C’est alors une cérémonie familiale et religieuse.

Dans les îles marquises, les tatouages qui y sont effectués sont essentiellement d’ordre esthétique.
Toutes les parties du corps sont tatouées, à l’exception de la paume des mains et de la plante des pieds.
Plus les dessins sont nombreux, riches et variés, plus la personne est âgée et élevée dans le milieu social.

En nouvelle Zélande, le tatouage en Nouvelle-Zélande est inséparable du mariage, de ce fait la jeune fille se doit d’être belle en se tatouant le visage. De même, pour l’homme le tatouage est un élément de séduction.

Au Japon, le tatouage dès le Vème siècle servait à punir les criminels au même titre que le fait de couper une main ou une oreille. Il avait pour but de marquer l’individu à vie.
Au XVIIème siècle, les prostituées se tatouaient elles-mêmes sur le bras, le dos de la main, la poitrine ou le visage. C’est donc par cette double pratique (celle du criminel et de la prostituée) que le tatouage a été assimilé aux mauvaises moeurs de la société japonaise.  Dans la tribu japonaise de “Aïnous”, le tatouage existait depuis la préhistoire, et essentiellement sur le visage féminin. Cette tradition existe toujours, mais le tatouage n’est effectué que sur les femmes et uniquement autour de la bouche et sur le dos des mains, pour les cérémonies matrimoniales. 

Le tatouage et la scarification en Afrique Noire sont revendicateurs des rites d’initiation. Ils peuvent accompagner le fait d’appartenir à une communauté, marquer le passage d’un état à un autre (celui d’enfant à adolescent ou d’adolescent à adulte). Toutes ces agressions corporelles vont fortifier la personnalité de celui qui les subies, et augmenter ses forces vitales. Chez les “Konkomba” du Togo du nord, les hommes et les femmes ont le torse entièrement scarifié et portent sur le visage des dessins noircis au charbon représentant la tribu.

Et j'en passe, comme les marins, les esclaves, d'autres tribus (...), dans notre société actuelle ont peut dire que le tatouage est devenu une mode "corporelle". Je pense que ce désir doit soutenir un sens de la personnalité, un "passage", une fortification de la personnalité de faits passés et présent. Pour moi, le tatouage est une liberté d'expression, expression de et sur son propre corps témoignant des épreuves, de la vie de chacuns. 
Liberté, envol, sérénité, histoire, rève... 

Si vous en voulez plus, n'héssitez pas ... ce sera un plaisir ... 
Expression...Expression...Expression...
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Je pense mếme aller plus loin dans cette thématique du corps...
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Extrait vitalisant, au parfum ressourçant & pétillant